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[–] mat@jlai.lu 4 points 1 month ago (2 children)

Je me lance avec mon sujet que je vais aussi balancer sur selfhosted : Pour déployer un nextcloud+paperless-ngx+onlyoffice avec du rootless podman, vous metteriez tout dans un seul pod avec un reverse proxy, ou alors vous ouvririez plusieurs ports sur le pod ? Sachant que j'ai déjà un reverse proxy pour gérer tout le trafic entrant

[–] ivn@jlai.lu 4 points 1 month ago (1 children)

Je n'utilise pas podman, docker… donc je n'ai pas l'avis le plus informé sur ce cas mais dans une situation de ce genre je préfère avoir un seul reverse-proxy central que de commencer à en avoir plusieurs les uns derrière les autres. Une seule configuration, un seul programme à maintenir à jour.

[–] mat@jlai.lu 1 points 1 month ago

Dans le cadre d'un pod, on ne peut pas réouvrir de port après la création et ça peut être l'avantage d'avoir un reverse proxy au sein du pod et ça peut aussi permettre de faire évoluer la partie nextcloud indépendamment du reste...

[–] BlackEco@lemmy.blackeco.com 2 points 1 month ago (1 children)

Je ne suis pas familier avec podman et particulièrement sur la question du networking dans podman, mais pour ma part j'ai un reverse proxy avec son propre network bridge dans une stack (l'équivalent docker-compose d'un pod si j'ai bien compris), et dès que je déploie un nouveau service, je le fais dans une stack à part et je connecte le containeur au network du reverse proxy. Ainsi je peux modifier les services indépendamment des autres sans causer de downtime sur les autres.

[–] mat@jlai.lu 1 points 1 month ago

De ce que j'ai lu (en 10s) sur docker stack et je ne maitrise pas podman au bout des doigts je pense qu'on va être sur des concepts différents. Pour expliquer mon utilisation de podman : ça tourne en rootless, et je fais un utilisateur par service (proxy, pihole, kanidm, cloud, streaming...). Ça a pour conséquence une isolation totale de chaque service, à part pour les ports que j'ai relié à ceux de l'OS (pihole-ui est accessible via mon reverse-proxy, même chose pour kanidm). Un pod va permettre de partager un réseau userspace, et aussi un contexte d'exécution (si je me trompe pas). Le truc, c'est que si un port n'est pas redirigé dans le pod, aucun conteneur du pod ne peut y accéder d'où ma question. Est-ce que je crée un pod avec un reverse proxy (les connexions prévues pour un nextcloud étant exclusivement http, ça me fait au plus deux ports à ouvrir (80,443)) ou est-ce que je reconstruit le tout à chaque fois que je veux ajouter un nouveau service ?