[🔒] Japon

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founded 7 months ago
MODERATORS
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Du fait du manque d’activitĂ© sur la commu, l'Ă©quipe de modĂ©ration a choisi de fermer (temporairement?) cette communautĂ©.

Au lieu de poster ici tout contenu en rapport avec le japon, je vous propose d’aller sur !forumlibre@jlai.lu (pour le contenu gĂ©nĂ©ral) ou sur !monde@jlai.lu (pour les news) !

Merci pour votre compréhension

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They contain a sweet honey that you can taste by sucking the bottom, a friend made me taste. I just did some research about it for this post. It appears some are actually toxic, and it's very hard to tell the difference.

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Post cree le : 2024-04-26 a 07H14mn08s GMT-Time

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As tu un point de vue ici ou pas du tout ? :) @oce@jlai.lu

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Gekokujƍ (例態侊 ou 例手侊?) est un terme japonais pouvant se traduire par l'expression « les plus faibles gouvernent les plus forts » ou bien « le faible domine le fort ».

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cross-posted from: https://jlai.lu/post/6118881

An illustration of the "ultra free" market in Japan, is the insane amount of ways to pay at the cashier. It seems every financial group thought they could do better than the other, and for some reason I don't understand, they didn't eat each other, they just coexist.

The main categories are: bank card, payment apps connected to bank account, transportation cards, electronic money. They may work through card reader, no-contact, bar code scan or QR code scan. For the last two, you are either scanned or you have to scan them.

Also, Japan loves "points". If you know the cashback system, where you get something like 1% of your bill back, in Japan they usually get points back, which are of course limited to shops accepting those points. So on top of payment methods you also have a dozen of points system, either specific to the shop brand or from a different company that may have agreements with different merchants.

Despite that, cash remains essential, it's very common to end up in a restaurant that only accepts cash, even the convenience of paying your house bills at the konbini requires cash.

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La discu se passe sur le feed original.

cross-posted from: https://jlai.lu/post/5993644

I'm not super convinced by the water jet. It can make a mess, it requires a lot of paper to dry if you don't want to wet your pants and if you don't have soap, are you really cleaning?
Heating seat feels like overabundance (a common thing in Japan).
But the sink to clean your hands and reuse this gray water for the next flush is amazing. I think it should be made mandatory in every region with water resources issues. It's still not clear to me, however, if using soap there will cause more maintenance issues or not.

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Bigs Spoilers OFC mais balek, l'Histoire avant tout.
Je conseille le DL de ce SHow lawl

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Asa ga Kita (2015) (mydramalist.com)
submitted 7 months ago by Sprokes@jlai.lu to c/japon@jlai.lu
 
 

C'est la 93eme Asadora et l'histoire se déroule juste avant et pendant la restoration Meiji. C'est l'histoire d'une fille Asa qui curieuse qui se marie à une famille de commerçant et décide de participer à la gestion de business. Le personnage d'Asa est basé sur Hirooka Asako connu pour avoir géré une mine de charbon, ouvert une banque, et a fondé la premiÚre université pour femmes au Japon.

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Petit cp ici, vu le contenu + editeur,
#japanmania

cross-posted from: https://lemmy.ml/post/14103714

Bundle pas mal, avec des titres qui ont l'air bien sympa, des avis ? :)

Offer ends in 10 days : 5 hours : 9 minutes

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Cyberpunk Et Japon (cdn.shopify.com)
submitted 7 months ago* (last edited 7 months ago) by TGhost@lemmy.ml to c/japon@jlai.lu
 
 

Le cyberpunk japonais fait rĂ©fĂ©rence Ă  la fiction cyberpunk produite au Japon. Le cyberpunk japonais se divise en deux sous-genre distincts: les films dits en "live action", et les Ɠuvres manga et d'anime cyberpunk1.

Le cyberpunk japonais englobe Ă©galement les Ɠuvres manga et anime avec des thĂšmes cyberpunk. Ce sous-genre est nĂ© en 1982 avec les dĂ©buts de la sĂ©rie manga Akira de Katsuhiro Otomo, et son adaptation animĂ©e de 1988 (rĂ©alisĂ©e par Otomo lui-mĂȘme). L'adaptation en film a beaucoup contribuĂ© Ă  populariser le sous-genre. Akira a inspirĂ© une vague d'Ɠuvres cyberpunk japonaises, notamment des mangas et des sĂ©ries animĂ©es telles que Ghost in the Shell, Battle Angel Alita, Cowboy Bebop et Serial Experiments Lain4. Les manga et anime cyberpunk ont eu une grande influence sur la culture populaire mondiale, servant de source d'inspiration pour de nombreuses Ɠuvres dans les domaines de l'animation, de la bande dessinĂ©e, du cinĂ©ma, de la musique, de la tĂ©lĂ©vision ainsi que dans le domaine du jeu vidĂ©o5,6.

Et pour avoir une petite liste de fictions du genre pour se remettre en selle,

Films

  • Blade Runner (Ridley Scott, 1982; rĂ©adaptĂ© en 2017) - Tron (Steven Lisberger, 1982 rĂ©adaptation en 2010)
  • RoboCop (Paul Verhoeven, 1987). Ce film a fait l'objet d'un remake en 2014.
  • Total Recall (Paul Verhoeven, 1990 ; une rĂ©adaptation en 2012.)
  • Hardware (Richard Stanley, 1990)
  • Demolition Man (Marco Brambilla, 1993)
  • Johnny Mnemonic (Robert Longo, 1995)
  • Judge Dredd (Danny Cannon, 1995).
  • Strange Days (Kathryn Bigelow, 1995)
  • Nirvana (Gabriele Salvatores, 1996)
  • Le CinquiĂšme ÉlĂ©ment (Luc Besson, 1997)
  • New Rose Hotel (Abel Ferrara, 1998)
  • La trilogie Matrix (les Wachowskis, 1999)
  • Avalon (Mamoru Oshii, 2001)
  • Minority Report (Steven Spielberg, 2002)
  • Cypher (Vincenzo Natali, 2002)
  • Immortel, ad vitam (Enki Bilal, 2004)
  • Babylon A.D (Mathieu Kassovitz, 2008)
  • Chappie (Neill Blomkamp, 2015)
  • Blade Runner 2049 (Denis Villeneuve, 2017)
  • Alita: Battle Angel (Robert Rodriguez, 2018)
  • Upgrade (Leigh Whannell, 2018)

Animes / Mangas

  • Akira (Katsuhiro ƌtomo,1982 ; animation en 1988)
  • Serial Experiments (Lain Ryutaro Nakamura, 1998)
  • Bubblegum Crisis (1987)
  • Silent Möbius (Kia Asamiya, 1989)
  • Ergo Proxy (Shukƍ Murase, 2006)
  • AD Police (Tony Takezaki, 1989)
  • Gunnm (Yukito Kishiro,1990)
  • Cyber City Oedo 808 (Yoshiaki Kawajiri,1990)
  • Armitage III (1994)
  • Ghost in the Shell (Masamune Shirow, 1989 ; adaptĂ© en anime en 1995 et en film en 2017)
  • Eden (1998)
  • BLAME! (Tsutomu Nihei, 1998)
  • Metropolis (Rintarƍ, 2001)
  • Appleseed (Masamune Shirow,1985)
  • Mardock Scramble (Tow Ubukata, 2003)
  • Texhnolyze (2003)
  • Wonderful Days (Kim Moon-Saeng, 2003)
  • Mardock Scramble (2010), inspirĂ©s des romans illustrĂ©s de Tow Ubukata (2003)
  • Vexille (2007)
  • Accel World (2010 manga, animation en 2012)
  • Psycho-Pass (2012)

Gunnm,

« En Europe et aux Etats-Unis, le cyberpunk est interprĂ©tĂ© comme la prise de conscience qu’il se passe quelque chose d’important avec les nouvelles technologies, et que cela va vite poser des problĂšmes. Mais pour la gĂ©nĂ©ration Otomo, le cyberpunk n’est pas le monde de demain : c’est celui dans lequel vivent dĂ©jĂ  ces jeunes-lĂ . A cette Ă©poque, la jeunesse japonaise est dĂ©jĂ  hybridĂ©e avec son tĂ©lĂ©phone. »

Tetsuo (Pas celui de Otomo),

Le rĂ©alisateur utilise Ă©galement la ville comme Ă©lĂ©ment mĂ©taphorique de nos sociĂ©tĂ©s actuelle et future. Le propos est d’autant plus contemporain dans une Ăšre oĂč la technologie omniprĂ©sente est presque indispensable pour vivre normalement et en corrĂ©lation avec notre sociĂ©tĂ©, au point mĂȘme oĂč une dĂ©pendance se crĂ©e. Mais si Tetsuo traite dans les rĂšgles de l’art l’influence de la technologie au niveau de l’individu, il va encore plus loin en traitant cette influence au niveau de la civilisation et des rapports Ă©troits entre les individus. La capitale japonaise semble effectivement sauvage dans le film, avec ses ruelles sales, ses ateliers industriels macabres et ses endroits oĂč sont enterrĂ©s des corps. Le cinĂ©aste dĂ©crit un enfer urbain oĂč la technique affecte les humains, impactant directement leur chair. Il n’y a pas de reprĂ©sentation rĂ©elle du Tokyo rutilant de l’imagination populaire, et c’est un choix de Tsukamoto qui a confiĂ© vouloir montrer dans son film la ville comme une jungle urbaine.

L’environnement industriel, gangrenĂ© par le mĂ©tal, le cuivre et autres matĂ©riaux, est rendu volontairement laid et austĂšre en plus d’ĂȘtre Ă©touffant. Cela permet d’aboutir Ă  une ambiance non seulement cauchemardesque mais aussi claustrophobe. Au fur et Ă  mesure du film, on remarque une ville morte, comme vidĂ©e de ses habitants. De maniĂšre paradoxale, l’individu ultra-connectĂ© est isolĂ© contre son grĂ© et n’existe que de maniĂšre connectĂ©e. Sorti en 1989, le propos du film paraĂźt pourtant plus actuel que jamais


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